Une esthétique radicale, sans distraction
L’Éclipse joue sur le clair-obscur. Une grande table en bois brut en premier plan, un fond noir profond, et deux néons verticaux qui sculptent l’image.
C’est un décor qui pose un cadre net, où le regard se focalise immédiatement sur la personne filmée. La scénographie suggère la concentration, le propos assumé, la voix qui compte.
Derrière, des éléments discrets — étagères en cube, objets neutres — ajoutent juste ce qu’il faut de texture sans perturber la lisibilité.